Une innovation dans le milieu de la littérature Ivoirienne
Une grande première dans le monde de la littérature en Côte d’Ivoire. Le cabinet « Sapia connexion » dirigé par le journaliste Alex Kipré a décidé d’apporter un souffle nouveau dans le monde des lettres. Il a ainsi initié le concours de lettres Kaïlcedra 2006. Il met en compétition les œuvres littéraires de tout genre : nouvelles, roman, théâtre, poésie, biographie, humour caricature BD, essai, littérature enfantine et jeunesse, compile de texte, guide pratique, recherche, littérature sentimentale.
La concurrence était rude dans la mesure ou on avait des écrivains célèbres et des quasi inconnus sans oublier l’illustre personnalité : Le Chef d’Etat Ivoirien qui figurait au rang des concurrents.
Les résultats ont été rendu publiques le 14 octobre au palais de culture à Abidjan:
1) Nouvelles/ Auteur : Tirburce Koffi/ Titre de l’œuvre : L’embarras de Dieu
2) Roman/ Auteur : Koffi Kwahulé/ Titre de l’œuvre :Babyface
3) Théâtre/ Auteur : Laurent Gbagbo/ Titre de l’œuvre Soundjata, le lion du manding
4) Humour caricature BD/ Auteur : Adama Dahico/ Titre de l'œuvre : Donnez-moi le pouvoir et je donnerai le rire ;
5) Littérature enfantine et jeunesse/ Auteur : Camara Nangala/ Titre de l’œuvre : Princesse Ebla ;
6) Biographie/ Auteur : Frédéric Grah Mel/ Titre de l’œuvre : Rencontres avec Félix Houphouët Boigny ;
7) Essai/ auteur : Sery Bailly / Titre de l’œuvre : Ne perds pas le nord ;
8) Management/ Auteur : Zadi Kessy Marcel/ Titre de l’œuvre : Développement de proximité et gestion des communautés villageoises ;
9) compile de textes/ Auteur : Alphonse Voho Sahi /titre de l’œuvre : Focal chronique d'une révolution démocratique ;
10) Guides pratiques/ Auteur : Isaïe Biton Koulibaly/ Titre de l’œuvre : La puissance de la lecture ;
11) Littérature sentimentale/ auteur : Adoubi Pascaline/ Titre de l’œuvre : Le fruit de la passion
Ce prix est une excellente initiative. Mais, les organisateurs ont raté leur première sortie parce que de plusieurs nominés n’ont pas assisté à la cérémonie de proclamation de résultats. Tout simplement qu’ils n’ont pas été conviés où ils ignoraient que leur œuvre était en compétition. A qui doit-on imputer cette faute, les maisons d’édition ou le cabinet « Sapia connexion ».
Par Leti